MOMA elle
Quand tout n’est que fuite et bitume, MOMA elle vient nous cueillir pour une danse inespérée. Sa folk entêtante, qui s’inspire de Mø, de Joan Baez, d’Aurora et encore d’Ed Sheeran, s’impose comme un remède à la mélancolie, en mode chagrin d’armure.
Sur scène, MOMA elle construit son univers à l’aide de son looper. Quelques percussions, de la guitare et surtout les harmonies vocales viennent rendre ce solo unique et envoutant. En fermant les yeux on peut aisément se surprendre à penser qu’elle n’est plus seule sur scène mais rejointe par un chœur qui vient accompagner ses mélodies. Le public témoignera de la sincérité du propos qui se construit petit à petit devant leur yeux.